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ADHERER A L'UDCV
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L'adhésion à l'association est obligatoire.
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Les adhérents bienfaiteurs s'acquittent d'une cotisation (année civile) de
Les adhérents bienfaiteurs s'acquittent d'une cotisation (année civile) de
- 10 € pour les personnes physiques
- 20 € pour les personnes morales.
Tout adhérent remplissant les conditions statutaires peut demander à être agréé membre actif . A chaque réunion du conseil d'administration , les membres élus statuent sur les éventuelles demandes d'agrément.
Tout adhérent remplissant les conditions statutaires peut demander à être agréé membre actif . A chaque réunion du conseil d'administration , les membres élus statuent sur les éventuelles demandes d'agrément.
Les origines de l'UDCV
Les origines de l'UDCV
L'Union Départementale des Centres de Vacances trouve son origine dans une association loi 1901 créée le 21/12/1936 par des paroisses d'Amiens. Son siège était situé au "patronage des jeunes gens" 109 rue Saint Jacques à Amiens. L'association a, par la suite, été hébergée au centre diocésain 32 rue de Noyon, puis à l'ufcv 6, rue St Fuscien pour finalement établir son siège à Fort Manoir 22 rue de l'Ile mystérieuse à Boves.
L'Union Départementale des Centres de Vacances trouve son origine dans une association loi 1901 créée le 21/12/1936 par des paroisses d'Amiens. Son siège était situé au "patronage des jeunes gens" 109 rue Saint Jacques à Amiens. L'association a, par la suite, été hébergée au centre diocésain 32 rue de Noyon, puis à l'ufcv 6, rue St Fuscien pour finalement établir son siège à Fort Manoir 22 rue de l'Ile mystérieuse à Boves.
Dans les années 50, des associations sportives et culturelles scolaires, des associations catholiques et d'éducation populaire, des mouvements de jeunesse de la Somme (l'Alliance, les amis de la jeunesse, l'association St Acheul, l'avenir de Péronne, Picardie Loisirs, les Scouts de France, l'avenir Saint Honoré, labeur et Joie, la Renaissance, le préventorium de Valloire...) rejoignent petit à petit l'association qui obtiendra le statut d'association reconnue d'utilité publique le 18/03/1963
Dans les années 50, des associations sportives et culturelles scolaires, des associations catholiques et d'éducation populaire, des mouvements de jeunesse de la Somme (l'Alliance, les amis de la jeunesse, l'association St Acheul, l'avenir de Péronne, Picardie Loisirs, les Scouts de France, l'avenir Saint Honoré, labeur et Joie, la Renaissance, le préventorium de Valloire...) rejoignent petit à petit l'association qui obtiendra le statut d'association reconnue d'utilité publique le 18/03/1963
En 1958, l'Union bénéficie d'un legs du sénateur Gérard de Berny et achète une propriété à Merlimont (qu'elle revendra plus tard) et la propriété de Fort Manoir (cf ci-contre) avec comme objectif d'y accueillir les centres de vacances et de loisirs de plein air ainsi que les stages de formation d'animateurs et d'éducateurs des enfants et des jeunes. Cette volonté d'accueil des jeunes anime encore aujourd'hui son projet associatif.
En 1958, l'Union bénéficie d'un legs du sénateur Gérard de Berny et achète une propriété à Merlimont (qu'elle revendra plus tard) et la propriété de Fort Manoir (cf ci-contre) avec comme objectif d'y accueillir les centres de vacances et de loisirs de plein air ainsi que les stages de formation d'animateurs et d'éducateurs des enfants et des jeunes. Cette volonté d'accueil des jeunes anime encore aujourd'hui son projet associatif.
(source : C.A. 8/12/2016)
Colonies de vacances et centres aérés dans les années 50 à Fort Manoir
les origines de FORT MANOIR
les origines de FORT MANOIR
Le bois de Fort Manoir, aussi appelé bois de Péronne, faisait partie des terres de Fortmanoir acquises dans les années 1620 par Oudart BRIET , grand prévôt des maréchaux de France. Son fils Nicolas, seigneur de Fortmanoir, hérita du domaine mais dû le quitter pour rejoindre la Bourgogne où il fut nommé prévôt provincial.
Le bois de Fort Manoir, aussi appelé bois de Péronne, faisait partie des terres de Fortmanoir acquises dans les années 1620 par Oudart BRIET , grand prévôt des maréchaux de France. Son fils Nicolas, seigneur de Fortmanoir, hérita du domaine mais dû le quitter pour rejoindre la Bourgogne où il fut nommé prévôt provincial.
Sous le règne de Louis XIV un château constitué d’un corps de logis en craie taillée, couvert d’un toit à la Mansart fut érigé. Début du 20 ème siècle deux pavillons de brique et de pierre coiffés de toits indépendants furent ajoutés et reliés par un jardin d’hiver.
Sous le règne de Louis XIV un château constitué d’un corps de logis en craie taillée, couvert d’un toit à la Mansart fut érigé. Début du 20 ème siècle deux pavillons de brique et de pierre coiffés de toits indépendants furent ajoutés et reliés par un jardin d’hiver.
Depuis la mort de Nicolas Briet de Fortmanoir à Besançon en 1681, Le domaine fut transmis aux héritiers par diverses successions y ajoutant début du XVIII siècle le domaine proche de Remiencourt. C’est Elisabeth de Franqueville , sœur de Pierre Alexandre Briet de Fortmanoir de Remiencourt , mort sans descendance, qui hérita des domaines.
Depuis la mort de Nicolas Briet de Fortmanoir à Besançon en 1681, Le domaine fut transmis aux héritiers par diverses successions y ajoutant début du XVIII siècle le domaine proche de Remiencourt. C’est Elisabeth de Franqueville , sœur de Pierre Alexandre Briet de Fortmanoir de Remiencourt , mort sans descendance, qui hérita des domaines.
A la mort d’Edmond de Franqueville , Fortmanoir fut cédé en 1896 à M Nonmert puis en 1905 à Léontine Latigant, épouse de M Burdin de Péronne (d'où le nom de bois de Péronne, cf ci-dessus), procureur de la République à Amiens. D’importants travaux furent alors réalisés.
A la mort d’Edmond de Franqueville , Fortmanoir fut cédé en 1896 à M Nonmert puis en 1905 à Léontine Latigant, épouse de M Burdin de Péronne (d'où le nom de bois de Péronne, cf ci-dessus), procureur de la République à Amiens. D’importants travaux furent alors réalisés.
Les bombardements de 1914-1918 ont gravement endommagé le château qui fut restauré et agrandi dans les années 1920 . Les bombardements de la gare de Longueau en 1944 ont complètement anéanti le château.
(source : Gentilhommières en Picardie, Philippe Seydoux, Ed de la Morande)C’est ce parc, avec les ruines du château, que l’udcv a acheté grâce au legs du duc de Berny en 1958Le château était situé sur la partie est de la propriété qui a été expropriée en 1995 pour permettre l’aménagement des échangeurs de la rocade d’Amiens,Les bombardements de 1914-1918 ont gravement endommagé le château qui fut restauré et agrandi dans les années 1920 . Les bombardements de la gare de Longueau en 1944 ont complètement anéanti le château.
FAIRE UN DON OU UN LEGS A L'UDCV
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l'UDCV est une association loi 1901, reconnue d'Utilité Publique .
l'UDCV est une association loi 1901, reconnue d'Utilité Publique .
Pour permettre l'entretien de la propriété, le renouvellement de ses équipements, la création de nouvelles installations au service d'un projet associatif en faveur de l'enfance et de la jeunesse, vous pouvez faire un don :
Pour permettre l'entretien de la propriété, le renouvellement de ses équipements, la création de nouvelles installations au service d'un projet associatif en faveur de l'enfance et de la jeunesse, vous pouvez faire un don :
- en nature : matériel de restauration, de jardinage, camping, bucheronnage, jeux d'extérieur, arbres et arbustes, plantes, legs...
- par chèque à l'ordre de l'udcv 22 rue de l'ile mystérieuse 80440 BOVES
- par virement :
IBAN : FR76 1627 5003 0008 1043 5939 336
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BIC : CEPAFRPP627
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